Lydia Flem, Journal implicite

Lydia Flem prend des photographies comme elle écrit ses livres : avec malice. Munie d’un appareil numérique, elle assemble, compose, isole et révèle le monde sensible qu’elle habite et qui l’habite. Elle se joue de l’intime et accompagne ses séries de textes brefs, précieux indices pour lire ses images.

144 p., octobre 2013 — 9782732455228

Dans un entretien avec Gérald Cahen (La Faute à Rousseau, numéro 84, juin 2020, p. 29-31, Lydia Flem raconte comment elle est « devenue photographe » et elle explicite le lien intime de son œuvre photographique et de son œuvre littéraire :

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« Ce n’est pas la mort que Lydia Flem a cachée dans un coin de ses anamorphoses photolittéraires, mais bien la rage de vivre » : Servanne Monjour consacre un très bel article aux « forces obliques » à l’œuvre dans le travail photolittéraire de Lydia Flem. Paru dans la revue Itinéraires (2020/1), il est accessible en ligne en suivant ce lien.

Journal implicite et La Reine Alice (© Christine Marcandier)

 

Journal implicite et La Reine Alice (© Christine Marcandier)

 

Journal implicite et La Reine Alice (© Christine Marcandier)
Journal implicite et Comment j’ai vidé la maison de mes parents (© Christine Marcandier)

 

Journal implicite et Comment j’ai vidé la maison de mes parents (© Christine Marcandier)

 

Journal implicite et Comment j’ai vidé la maison de mes parents (© Christine Marcandier)