
Le 11 mars 2023, s’est tenue à la Maison de l’Amérique latine, une matinée d’hommages à Maurice Olender, organisée par Sophie Tarneaud, Hugues Jallon et les éditions du Seuil, François Vitrani et La Maison de l’Amérique latine.
Le 11 mars 2023, s’est tenue à la Maison de l’Amérique latine, une matinée d’hommages à Maurice Olender, organisée par Sophie Tarneaud, Hugues Jallon et les éditions du Seuil, François Vitrani et La Maison de l’Amérique latine.
Lydia Flem invite à prendre soin de soi, d’autrui et du monde. Que ce soit dans Comment j’ai vidé la maison de mes parents ou La Reine Alice, le souci de l’intime parcourt son œuvre. On retrouve ici son choix de suivre les voies de la littérature et de l’art pour aborder des questions généralement cloisonnées dans telle ou telle autre discipline des sciences humaines. Lire la suite
Lydia Flem, Féminicides. Accrochage à la galerie Françoise Paviot, du 9 avril au 25 juin 2022.
7 janvier 2022 : Georges Perec, Espèces d’espaces, édition augmentée d’inédits
1er avril 2022 : Florence Delay, Il n’y a pas de cheval sur le chemin de Damas
29 avril 2022 : Georges Perec, Lieux, inédit
29 avril 2022 : Georges Perec, Lieux, navigation numérique augmentée
26 août 2022 : Lydia Flem, Bouche bavarde oreille curieuse
Le livre de Lydia Flem, Paris Fantasme, décrit une rue et mille vies. Une ruelle du VIe arrondissement parisien truffée de signes littéraires et artistiques, dont elle exhume l’histoire depuis 1518, par le biais de ses habitants. À ce fil, elle tisse celui de sa propre histoire, interrogeant alors notre manière d’habiter le monde.
Cet ouvrage étant une invitation à la promenade, il sera proposé, après un temps d’échange, d’aller arpenter la rue Férou avec Lydia Flem, le 20 novembre dans cette rue au mille et une vies dont elle exhume l’histoire depuis 1518, par le biais de ses habitants.
Fascinée par une ruelle, née il y a cinq cents ans entre la place Saint-Sulpice et le jardin du Luxembourg, j’ai cherché à découvrir celles et ceux qui y ont vécu de siècle en siècle, de numéro en numéro, d’étage en étage, depuis 1518. La rue Férou est devenue le lieu d’une question existentielle : qu’est-ce qui donne le sentiment d’être chez soi quelque part ? D’habiter tout à la fois son corps, sa maison et le monde ? Lire la suite