
Le 11 mars 2023, s’est tenue à la Maison de l’Amérique latine, une matinée d’hommages à Maurice Olender, organisée par Sophie Tarneaud, Hugues Jallon et les éditions du Seuil, François Vitrani et La Maison de l’Amérique latine.
Le 11 mars 2023, s’est tenue à la Maison de l’Amérique latine, une matinée d’hommages à Maurice Olender, organisée par Sophie Tarneaud, Hugues Jallon et les éditions du Seuil, François Vitrani et La Maison de l’Amérique latine.
La Maison de l’Amérique latine et les éditions du Seuil proposent cet hommage à l’écrivain-éditeur et ami Maurice Olender.
Sans doute est-ce ici le dernier texte publié de son vivant par Maurice Olender, en hommage à Michel Deguy, dans le très beau numéro d’hommages coordonné par Martin Rueff et publié en octobre 2022 : “Lieux communs lieux divins”. Nous n’en reproduisons ici que les premiers paragraphes.
Rappelons que Maurice Olender avait publié A ce qui n’en finit pas de Michel Deguy en 1995 dans “La Librairie du XXIe siècle” (et une édition revue et augmentée du livre, en 2017.
CM
Le 24 mai 2022 a eu lieu, en partenariat avec le journal Diacritik, une rencontre, animée par Jean-Luc Joly, à la bibliothèque de l’Arsenal, autour de l’édition de Lieux (éditions du Seuil, “La Librairie du XXIe siècle”, 2022), avec Pierre Getzler, Sylvia Richardson, petite-cousine de Georges Perec (et son ayant-droit, avec Marianne Saluden), Claude Burgelin (qui a également lu un texte de Maurice Olender), Caroline Scherb, qui a présenté le site de Lieux et toutes ses possibilités de navigation numérique augmentée, et Jean-Luc Joly.
Georges Perec a inventé au tournant des années soixante et soixante-dix du siècle passé un univers potentiel qui est devenu notre présent.
Lydia Flem, Féminicides. Accrochage à la galerie Françoise Paviot, du 9 avril au 25 juin 2022.
Le livre de Lydia Flem, Paris Fantasme, décrit une rue et mille vies. Une ruelle du VIe arrondissement parisien truffée de signes littéraires et artistiques, dont elle exhume l’histoire depuis 1518, par le biais de ses habitants. À ce fil, elle tisse celui de sa propre histoire, interrogeant alors notre manière d’habiter le monde.
Cet ouvrage étant une invitation à la promenade, il sera proposé, après un temps d’échange, d’aller arpenter la rue Férou avec Lydia Flem, le 20 novembre dans cette rue au mille et une vies dont elle exhume l’histoire depuis 1518, par le biais de ses habitants.