Maison de l’Amérique Latine
Soirée Coïncidences : Jacques Schiffrin, un éditeur en exil, 16 mars 2022

Coïncidences : Rencontre avec Nicole Lapierre (11 mars 2020)
Rencontre avec Nicole Lapierre à l’occasion de la parution de son livre Faut-il se ressembler pour s’assembler ? (éditions du Seuil). Maison de l’Amérique latine, mercredi 11 mars 2020, 19h, dans le cadre des soirées « Coïncidences » (Maurice Olender, François Vitrani) et en collaboration avec l’Institut du Tout-Monde. Lire la suite
Rencontre avec Martin Rueff, 27 novembre 2019
Catalogue des 30 ans de La Librairie du XXIe siècle (2019)
Il existe trois versions de ce catalogue de 270 pages publié en mars 2019 (édition hors commerce) : Lire la suite
Soirée Coïncidences : 1968, avec Ludivine Bantigny, Alain Schnapp, Benjamin Stora (3 mai 2018)
Rencontre Po&sie, Maison de l’Amérique latine, 2 mai 2018
Soirée « Coïncidences » à la Maison de l’Amérique Latine, le 2 mai 2018, autour de la revue Po&sie, à l’occasion de la parution des numéros 160/161 et 162 de la revue Po&sie : Trans Europe Éclairs 1 et 2. Une soirée à retrouver en intégralité en vidéo. Lire la suite
Rencontre autour Edwy Plenel, 22 mars 2018
Soirée Coïncidences, organisée par Maurice Olender et François Vitrani, à la Maison de l’Amérique latine, autour d’Edwy Plenel, accompagné de l’historien André Burguière, des journalistes Carine Fouteau et Claire Mayot, des éditeurs Stéphanie Chevrier et Maurice Olender, 22 mars 2018 (Lire ici). Lire la suite
Jacques Roubaud, 5 mars 2018
À l’occasion de la parution de Peut-être ou La Nuit de dimanche (brouillon de prose). Autobiographie romanesque, dans « La Librairie du XXIe siècle », rencontre avec Jacques Roubaud, Maison de l’Amérique Latine, 5 mars 2018, dans le cadre des soirées « Coïncidences » organisées par Maurice Olender et François Vitrani. Avec Jacques de Decker, Florence Delay, Christine Marcandier et Martin Rueff. Lire la suite
Nicanor Parra, Poèmes et Antipoèmes et Anthologie (1937-2014)
Parra est mathématicien, professeur. C’est l’un des grands poètes sud-américains. On lui a donné le prix Cervantes en 2011, ça ne l’a pas tué. Quand il écrit, c’est sans perruque, pas sans mâchoire : ses dents montrent la joie, le rire, la grimace, le dentier, le cadavre. La conscience ordinaire, celle de l’homme de la rue et de son langage, trouve une expression lyrique.