Courts voyages au pays du peuple, février 1990.
Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir, janvier 1993.
La Fable cinématographique, octobre 2001.
Chroniques des temps consensuels, octobre 2005.
Les Bords de la fiction, septembre 2017.
Courts voyages au pays du peuple, février 1990.
Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir, janvier 1993.
La Fable cinématographique, octobre 2001.
Chroniques des temps consensuels, octobre 2005.
Les Bords de la fiction, septembre 2017.
On le sait depuis Aristote : ce qui distingue la fiction de l’expérience ordinaire, ce n’est pas un défaut de réalité mais un surcroît de rationalité. Elle dédaigne en effet l’ordinaire des choses qui arrivent les unes après les autres pour montrer comment l’inattendu advient, le bonheur se transforme en malheur et l’ignorance en savoir. Lire la suite
Le consensus ne signifie pas la pacification des esprits et des corps. Lire la suite
Une fillette et son tueur devant une vitrine, une silhouette noire descendant un escalier, la jupe arrachée d’une kolkhozienne, une femme qui court au-devant des balles : ces images signées Lang ou Murnau, Eisenstein ou Rossellini, iconisent le cinéma et cachent ses paradoxes. Lire la suite
Une histoire, au sens ordinaire, c’est une série d’événements qui arrivent à des sujets généralement désignés par des noms propres. Or la révolution de la science historique a voulu révoquer le primat des événements et des noms propres au profit des longues durées et de la vie des anonymes. C’est ainsi qu’elle a revendiqué en même temps son appartenance à l’âge de la science et à l’âge de la démocratie. Lire la suite
Au bout de la ligne, un peu à l’écart du fleuve, vit cet autre peuple qu’on appelle simplement le peuple. Des voyageurs s’arrêtent, surpris. Lire la suite