Maurice Olender, éditions du Seuil

Maurice Olender a été l’éditeur de plusieurs livres des éditions du Seuil, hors de “La Librairie du XXIe siècle” :

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Jacques Rancière

 

Courts voyages au pays du peuple, février 1990.

Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir, janvier 1993.

La Fable cinématographique, octobre 2001.

Chroniques des temps consensuels, octobre 2005.

Les Bords de la fiction, septembre 2017.

Antonio Tabucchi

Antonio Tabucchi est né à Pise en 1943 et mort à Lisbonne en 2012. Auteur d’une trentaine d’ouvrages salués dans le monde entier, il fut le traducteur de Fernando Pessoa en italien. Parmi ses livres les plius connus figurent Nocturne indien (Prix Médicis étranger en 1986), Pereira prétend (1994) et Tristano meurt (2004). Au Seuil, il a publié Au pas de l’oie (2006) et, dans « La Librairie du XXIe siècle » :

Les Trois derniers jours de Pessoa. Un délire, traduction de l’italien par Jean-Paul Manganaro, dessins de Júlio Pomar, octobre 1994.

Autobiographies d’autrui, traduit de l’italien par Lise Chapuis et Bernard Comment avec la participation de l’auteur, mars 2003.

La Nostalgie, l’Automobile et l’Infini. Lectures de Pessoa (nouvelle édition augmentée), avril 2013. Lire la suite

La Librairie du XXe siècle, 1993

Italo Calvino, Pourquoi lire les classiques ?, 1993.

Italo Calvino, La Machine littérature, traduit par Michel Orcel et François Wahl, janvier 1993.

Antoine Compagnon, Chat en poche. Montaigne et l’allégorie, janvier 1993.

Rachel Ertel, Dans la langue de personne. Poésie yiddish de l’anéantissement, avril 1993.

Patrice Loraux, Le Tempo de la pensée, septembre 1993.

Georges Perec, Le Voyage d’hiver, octobre 1993.

Jean Pouillon, Le Cru et le Su, mars 1993.

Jacques Rancière, Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir, janvier 1993.

Georges Perec, Le Voyage d’hiver

Georges Perec, Le Voyage d’hiver

Le Voyage d’hiver, une brève nouvelle de Georges Perec, plonge le lecteur dans l’étrange aventure de Vincent Degraël, un jeune professeur de lettres qui fait une découverte bouleversant toutes les certitudes acquises à propos de la littérature française du XIXe siècle. Lire la suite

Rachel Ertel, Dans la langue de personne. Poésie yiddish de l’anéantissement

Itzhak Schipper, mort à Maïdanek en 1943, confiait à Alexandre Donat : “Tout ce que nous savons des peuples assassinés est ce que leurs assassins ont bien voulu en dire. Si nos assassins remportent la victoire, si ce sont eux qui écrivent l’histoire […] ils peuvent nous gommer de la mémoire du monde […]. Mais si c’est nous qui écrivons l’histoire de cette période de larmes et de sang – et je suis persuadé que nous le ferons – qui nous croira ? Personne ne voudra nous croire, parce que notre désastre est le désastre du monde civilisé dans sa totalité.” Lire la suite

Jean Pouillon, Le Cru et le Su

L’unité, relative, de cet ensemble de textes écrits à des dates différentes et sur des sujets divers me semble, après coup, tenir à une attitude somme toute normale pour un ethnologue et qu’en tout cas il ne peut guère éviter, celle qui consiste à s’intéresser, chez ceux qu’il s’efforce de comprendre, à ce dont il ne croit pas un mot : religions, idéologies, mythologies… Lire la suite

Jacques Rancière, Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir

Une histoire, au sens ordinaire, c’est une série d’événements qui arrivent à des sujets généralement désignés par des noms propres. Or la révolution de la science historique a voulu révoquer le primat des événements et des noms propres au profit des longues durées et de la vie des anonymes. C’est ainsi qu’elle a revendiqué en même temps son appartenance à l’âge de la science et à l’âge de la démocratie. Lire la suite