Antonio Tabucchi

Antonio Tabucchi est né à Pise en 1943 et mort à Lisbonne en 2012. Auteur d’une trentaine d’ouvrages salués dans le monde entier, il fut le traducteur de Fernando Pessoa en italien. Parmi ses livres les plius connus figurent Nocturne indien (Prix Médicis étranger en 1986), Pereira prétend (1994) et Tristano meurt (2004). Au Seuil, il a publié Au pas de l’oie (2006) et, dans « La Librairie du XXIe siècle » :

Les Trois derniers jours de Pessoa. Un délire, traduction de l’italien par Jean-Paul Manganaro, dessins de Júlio Pomar, octobre 1994.

Autobiographies d’autrui, traduit de l’italien par Lise Chapuis et Bernard Comment avec la participation de l’auteur, mars 2003.

La Nostalgie, l’Automobile et l’Infini. Lectures de Pessoa (nouvelle édition augmentée), avril 2013. Lire la suite

Antonio Tabucchi, La Nostalgie, l’Automobile et l’Infini. Lectures de Pessoa (nouvelle édition augmentée)

À l’automne 1964, rentrant d’une année passée comme étudiant à Paris, Antonio Tabucchi découvre une plaquette, en traduction française : « Bureau de Tabac », de Fernando Pessoa. Dès lors, les écrits du grand poète portugais ne cesseront plus jamais d’accompagner sa vie intellectuelle. Lire la suite

Maurice Olender, In memoriam Antonio Tabucchi

Antonio Tabucchi et Maurice Olender (Fonds Maurice Olender IMEC)

On trouvera ici réunis deux textes de Maurice Olender en hommage à Antonio Tabucchi. Le premier a été publié dans Mediapart le 27 mars 2012. accompagné d’un texte d’introduction lui aussi reproduit ici. Le deuxième a été lu, le 9 mai 2012, lors d’une soirée consacrée à Antonio Tabucchi à la Maison de l’Amérique Latine et publié dans Le Magazine littéraire (n° 522, été 2012, p. 90-91).

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Antonio Tabucchi, Autobiographies d’autrui. Poétiques a posteriori

“Ces écrits sur mes écrits sont un pur prétexte pour parler des livres d’autrui, tels ceux qu’on emporte avec soi dans une valise idéale, au cours des voyages les plus lointains, souvent sans le savoir. Lire la suite

Antonio Tabucchi, Les Trois derniers jours de Pessoa. Un délire

Novembre 1935. Pessoa est sur son lit de mort, à l’hôpital Saint-Louis-des-Français à Lisbonne. Trois jours d’agonie, durant lesquels, comme dans un délire, le grand poète portugais reçoit ses hétéronymes. Lire la suite