Courts voyages au pays du peuple, février 1990.
Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir, janvier 1993.
La Fable cinématographique, octobre 2001.
Chroniques des temps consensuels, octobre 2005.
Les Bords de la fiction, septembre 2017.
Courts voyages au pays du peuple, février 1990.
Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir, janvier 1993.
La Fable cinématographique, octobre 2001.
Chroniques des temps consensuels, octobre 2005.
Les Bords de la fiction, septembre 2017.
Italo Calvino, Pourquoi lire les classiques ?, 1993.
Italo Calvino, La Machine littérature, traduit par Michel Orcel et François Wahl, janvier 1993.
Antoine Compagnon, Chat en poche. Montaigne et l’allégorie, janvier 1993.
Rachel Ertel, Dans la langue de personne. Poésie yiddish de l’anéantissement, avril 1993.
Patrice Loraux, Le Tempo de la pensée, septembre 1993.
Georges Perec, Le Voyage d’hiver, octobre 1993.
Jean Pouillon, Le Cru et le Su, mars 1993.
Jacques Rancière, Les Noms de l’histoire. Essai de poétique du savoir, janvier 1993.
Une histoire, au sens ordinaire, c’est une série d’événements qui arrivent à des sujets généralement désignés par des noms propres. Or la révolution de la science historique a voulu révoquer le primat des événements et des noms propres au profit des longues durées et de la vie des anonymes. C’est ainsi qu’elle a revendiqué en même temps son appartenance à l’âge de la science et à l’âge de la démocratie. Lire la suite