Je n’ai jamais cessé de prendre le métro, jamais cessé d’être un Parisien. Je peste parfois contre les embarras de la capitale et rêve d’une ville sans embouteillages, sans heures de pointe, mais, d’un autre côté, je suis toujours un peu dérouté par la paix des champs, la douceur angevine ou la solitude des plages désertes en hiver lorsque, d’aventure, il m’arrive d’en faire l’expérience. Lire la suite
Marc Augé, Le Métro revisité
