« Ce n’est pas la mort que Lydia Flem a cachée dans un coin de ses anamorphoses photolittéraires, mais bien la rage de vivre » : Servanne Monjour consacre un très bel article aux « forces obliques » à l’œuvre dans le travail photolittéraire de Lydia Flem. Paru dans la revue Itinéraires (2020/1), il est accessible en ligne en suivant ce lien. Lire la suite