La Reine Rouge, 12 mars 2009. Courtesy Galerie Françoise Paviot (photo reproduite dans l’édition 2011 de La Reine Alice au Seuil).
“Ce n’est pas la mort que Lydia Flem a cachée dans un coin de ses anamorphoses photolittéraires, mais bien la rage de vivre” : Servanne Monjour consacre un très bel article aux “forces obliques” à l’œuvre dans le travail photolittéraire de Lydia Flem. Paru dans la revue Itinéraires (2020/1), il est accessible en ligne en suivant ce lien. Lire la suite