Quand l’ombre se détache du sol, traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, avril 1996.
L’Oreille absolue, traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, février 1998.
Dans le musée de Reims, traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, septembre 2003.
Horizon mobile, traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, mars 2010.
Marchands de temps, traduit de l’italien par Jean-Paul Manganaro, avril 2012.
Le Stade de Wimbledon, traduit de l’italien par René de Ceccatty, mai 2018.