La Librairie du XXIe siècle, 2017

 

Michel Deguy, À ce qui n’en finit pas (nouvelle édition revue et augmentée), novembre 2017.

Norbert Elias, Les Allemands. Luttes de pouvoir et développement de l’habitus aux XIXe et XXe siècles — livre précédé de Barbarie et « dé-civilisation » par Roger Chartier — traduction de l’anglais par Marc Joly et de l’allemand par Marc de Launay, mai 2017.

Françoise Frontisi-Ducroux, Arbres filles et garçons fleurs. Métamorphoses érotiques dans les mythes grecs, février 2017.

Daniel Heller Roazen, Langues obscures. L’art des voleurs et des poètes, traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise et Paul Chemla, mars 2017.

Maurice Olender, Un fantôme dans la bibliothèque, mai 2017.

Nicanor Parra, Poèmes et Antipoèmes et Anthologie (1937-2014), édition bilingue, traduction par Bernard Pautrat, préface de Philippe Lançon, juin 2017.

Michel Pastoureau, Une couleur ne vient jamais seule. Journal chromatique. 2012-2016, octobre 2017.

Jacques Rancière, Les Bords de la fiction, septembre 2017.

Emmanuel Terray, Mes anges gardiens, précédé d’Emmanuel Terray l’insurgé par Françoise Héritier, janvier 2017.

Peter Trawny, Heidegger. Une introduction critique, traduction de l’allemand par Marc B. de Launay, septembre 2017.

Norbert Elias

 

Mozart. Sociologie d’un génie, traduit de l’allemand par Jeanne Étoré et Bernard Lortholary, janvier 1991.

Théorie des symboles, traduit de l’anglais par Marie-Blanche et Damien Guillaume Audollent, avril 2015.

Les Allemands. Luttes de pouvoir et développement de l’habitus aux XIXe et XXe siècles, précédé de Barbarie et “dé-civilisation” par Roger Chartier, traduction de l’anglais par Marc Joly et de l’allemand par Marc de Launay, mai 2017.

Norbert Elias, Les Allemands. Luttes de pouvoir et développement de l’habitus aux XIXe et XXe siècles

Ce livre est le dernier dont Norbert Elias a autorisé et contrôlé la publication avant sa mort, le 1er août 1990 à Amsterdam.
Il tentait d’y comprendre l’incompréhensible : pourquoi tant d’Allemands, dans les années 1930 et 1940, ont-ils accepté l’extermination des Juifs et perpétré les plus effroyables cruautés ? Lire la suite

La Librairie du XXIe siècle, 2015

 

Yves Bonnefoy, L’Hésitation d’Hamlet et la Décision de Shakespeare, novembre 2015.

Luc Dardenne, Au dos de nos images II (2005-2014) suivi de Le Gamin au vélo et Deux jours, par Jean-Pierre et Luc Dardenne, janvier 2015.

Norbert Elias, Théorie des symboles, traduction de l’anglais par Marie-Blanche et Damien Guillaume Audollent, avril 2015.

Nicole Lapierre, Sauve qui peut la vie, août 2015. Prix Médicis Essais 2015.

Claude Lévi-Strauss, “Chers tous deux”. Lettres à ses parents. 1931-1942, septembre 2015.

Michel Pastoureau, Le Roi tué par un cochon. Une mort infâme aux origines des emblèmes de France ?, septembre 2015.

Jean-Loup Rivière, Le Monde en détails, février 2015.

Jean-Frédéric Schaub, Pour une histoire politique de la race, mars 2015.

Norbert Elias, Théorie des symboles

C’est l’aptitude à apprendre une langue qui constitue un patrimoine commun à tous les membres de l’espèce humaine ; telle est l’idée fondamentale que je développe dans ce livre. La nature et la société sont souvent considérées comme antagoniques. Or, pour ce qui se rapporte aux langues, elles fonctionnent ensemble. […] Lire la suite

Le Genre humain 1992/1 : Fini & infini (n° 24-25)

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La Librairie du XXe siècle, 1991

 

Henri Atlan, Tout, non, peut-être. Éducation et vérité, janvier 1991.

Norbert Elias, Mozart. Sociologie d’un génie, traduit de l’allemand par Jeanne Étoré et Bernard Lortholary, janvier 1991.

Lydia Flem, L’Homme Freud. Une biographie intellectuelle, septembre 1991.

Michel Pastoureau, L’étoffe du diable. Une histoire des rayures et des tissus rayés, 1991.

Georges Perec, Cantatrix Sopranica L. et autres récits scientifiques, octobre 1991.

Jean-Michel Rey, Paul Valéry. L’aventure d’une œuvre, octobre 1991.

Norbert Elias, Mozart. Sociologie d’un génie

C’est en 1980 que Norbert Elias songe à faire son Mozart, et c’est l’éditeur de ses œuvres, Michael Schröter, qui assure aujourd’hui la publication posthume de cet inédit. Contre les musicologues qui ont momifié Mozart, Elias s’efforce de comprendre qui fut cet artiste génial, né dans une société qui ne connaissait pas encore la notion romantique de “génie “. Lire la suite